Entre passion et humeurs… Bonne lecture

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A toi, Céline

Nous ne t’oublierons pas, ma chère collègue partie trop tôt.
Tu laisses un vide immense.
Ces fleurs de myosotis, pour toi.
Ces fleurs de la couleur de tes yeux.

Une épreuve de plus…


C’est la rentrée

Voilà c’est fait.

Encore une de plus, dans quelles conditions?

Covid et ses variants qui sont présents.

Moyens qui sont absents.

Des effectifs lourds qui nous empêchent de correctement fonctionner, de suffisamment différencier pour ces gamins, toujours plus nombreux, en difficultés…

Je lisais ce billet de Bernard Collot, toujours très bien écrit que je tiens à partager.

Pourquoi rentrer à l’école le jour de la rentrée ?
http://education3.canalblog.com/archives/2021/09/02/39118058.html

Bien égoïstement, ce matin je suis allée à l’étang. C’était beau! C’était lumineux !

En classe, modestement, nous avons échangé sur cette photo et abordé différentes thématiques en rapport avec la nature.

Mon souhait : pouvoir les traiter au long de l’année


Faire la paix

Êtes-vous coincé dans un étau de «je devrais», de «j’aurais dû», de «il faudrait» et de «pourquoi j’ai pas pu»? On pourrait discuter longuement de leur légitimité, faire la liste des raisons pour lesquelles on aurait effectivement dû faire les choses autrement (ou justifier longuement pourquoi les choses auraient dû se passer différemment)… Mais un fait demeure, au-delà de toutes ces considérations: lorsqu’on fait la guerre à la réalité, on perd. On perd chaque fois – «seulement 100 % du temps», comme le dit avec humour Byron Katie. Même si on a les meilleurs des arguments.

«Accepter les choses comme elles sont»: cela semble un peu triste, comme une défaite. Au contraire, c’est le plus grand triomphe! Suivre le courant ouvre un espace à l’intérieur de nous dans lequel une joie pure et simple peut émerger. On s’allège, on voyage léger… On est beaucoup mieux outillé pour aller de l’avant et transformer ce qui peut être changé. On navigue finalement d’un moment à l’autre dans la paix et l’harmonie, en toute humilité… Et, surtout, en toute liberté.

(Marie Pier)


Le vrai amour

C’était un matin, environ 8:30, quand un homme d’un certain âge est arrivé pour faire enlever les points de suture de son pouce.

Il dit qu’il était pressé car il avait un rendez-vous à 9:00.

En l’examinant, j’ai vu que ça cicatrisait bien, alors j’ai parlé à un des docteurs, j’ai pris les choses nécessaires pour enlever ses points et soulager sa blessure.

Pendant que je m’occupais de sa blessure, je lui ai demandé s ‘ il avait un autre rendez-vous avec un médecin ce matin, puisqu’il était pressé.

L’homme me dit non, qu’il devait aller dans une maison de santé pour déjeuner avec sa femme.

Je me suis informée de la santé de sa femme.

Il m’a dit qu’elle était là depuis quelque temps et qu’elle était victime de la maladie d’Alzheimer.

J’ai demandé si elle serait contrariée s’ il était en retard.

Il a répondu qu’elle ne savait plus qui il était, qu’elle ne le reconnaissait plus depuis 5 ans.

J’étais surprise et je lui ai demandé :

‘Et vous y allez encore tous les matins, même si elle ne sait pas qui vous êtes?’

Il souriait en me tapotant la main et dit :

Elle ne me reconnaît pas, mais je sais encore qui elle est.

J’ai dû retenir mes larmes quand il est parti, j’avais la chair de poule, et je pensais, que c’était le genre d’amour que je veux dans ma vie.

Le vrai amour, ni physique ni romantique, le vrai amour est l’acceptation de tout ce qui est, a été, sera et ne sera pas.

Les gens les plus heureux n’ont pas nécessairement le meilleur de tout, ils s’organisent du mieux qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont.

Donner vaut plus que de recevoir !

(reçu par mail ce matin)


Le principe du vide

(par Joseph Newton)

Avez-vous l’habitude de conserver des objets inutiles, en pensant qu’un jour, qui sait quand, vous pourriez en avoir besoin?

Avez-vous l’habitude d’accumuler de l’argent et de ne pas le dépenser parce que vous pensez que vous pourriez en manquer à l’avenir?

Avez-vous l’habitude de mettre en réserve des vêtements, des chaussures, des meubles, des ustensiles et autres fournitures domestiques que vous n’avez pas utilisés depuis quelque temps déjà?

Et en vous.? Avez-vous l’habitude de garder des reproches, du ressentiment, de la tristesse, des peurs et plus encore?

Ne le faites pas! Vous allez à l’encontre de votre prospérité!

Il est nécessaire de faire de la place, de laisser un espace vide pour permettre à de nouvelles choses d’arriver dans votre vie.

Il est nécessaire de vous débarrasser de toutes les choses inutiles qui sont en vous et dans votre vie afin que vienne la prospérité.

La force de ce vide est une force qui va absorber et attirer tout ce que vous souhaitez.

Tant que vous retenez matériellement ou émotionnellement des sentiments anciens et inutiles, vous n’aurez pas de place pour de nouvelles opportunités.

Les biens doivent circuler.

Nettoyez vos tiroirs, les armoires, les ateliers, le garage…. Donnez ce que vous n’utilisez plus…

L’attitude qui consiste à garder un amas de trucs inutiles enchaîne votre vie en bas.

Ce ne sont pas les objets que vous gardez qui font stagner votre vie… mais plutôt l’attitude de garder…

Quand nous gardons en réserve, nous envisageons la possibilité du manque, de la pénurie..

Nous croyons que cela pourrait manquer demain et que nous ne serons pas capables de satisfaire ces besoins.

Avec cette idée, vous envoyez à votre cerveau et à votre vie deux messages :

Que vous ne faites pas confiance à l’avenir et que vous pensez que ce qui est nouveau et ce qui est meilleur ne sont pas pour vous.

Pour cette raison, vous vous réconfortez en conservant de vieux trucs inutiles.

Débarrassez-vous de ce qui a perdu ses couleurs et son éclat …

Laissez entrer chez vous et en vous-mêmes ce qui est nouveau…


La valeur des siens n’a pas de prix

Un jour, un homme revenant du travail très tard, fatigué et agacé trouva son fils de 5 ans, à l’entrée de la porte.

– « Papa, je peux te poser une question? »

– « Qu’est-ce que c’est? » répondit l’homme.

– « Papa, combien tu gagnes par heure? « 

– « Ce n’est pas ton problème … Pourquoi une question pareille? » répondit l’homme, d’une façon agressive.

– « Je veux juste savoir. S’il te plaît combien tu gagnes par heure? »

– « Tu sais quoi. Je gagne 12 Euros par heure ! »

– « Ah … » répondit le garçon, avec sa tête vers le bas. « Papa, prête-moi seulement 6 Euros… »

Le père était furieux : « C’est pour cette raison que tu demandais cela ? …. Penses-tu que c’est comme ça que tu peux obtenir de l’argent pour acheter des jouets? Vite au lit dans ta chambre. Je travaille durement chaque jour pour de tels enfantillages ? »

Le garçon restant silencieux, entre dans sa chambre et ferme la porte…

L’homme assis devient de plus en plus nerveux sur les questions de l’enfant. Comment ose-t-il poser ce genre de questions juste pour gagner de l’argent ? Une heure plus tard, l’homme se ressaisit et se dit : Peut-être qu’il avait vraiment besoin d’acheter quelque chose avec ces 6 Euros et après tout ce n’est pas dans ses habitudes. L’homme alla à la chambre du gamin et ouvrit la porte.

– « Tu dors, mon fils? » demanda l’homme …

– « Non papa, je suis éveillé», répondit le gamin …

– « Je pense que j’ai été trop dur avec toi mon fils… J’ai eu une journée très dure, à tel enseigne que je me suis déchargé sur toi. Voici les 6 Euros que tu as demandé. »

Le petit tout souriant s’écria …. « Oh, merci papa! »

L’homme a vu que le gamin avait déjà de l’argent, et commença à se fâcher de nouveau. Le garçon comptait son argent doucement, puis regarda son père.

– « Pourquoi voulais-tu plus d’argent si tu en avais déjà? »

– « Papa, c’est parce que je n’en avais pas assez. », répondit le gamin. « Papa, maintenant j’ai 12 Euros; Puis-je acheter une heure de ton temps? … S’il te plaît, arrive demain une heure avant à la maison … J’aimerais dîner avec toi.

Le père a été brisé. Il a mis ses bras autour de l’enfant et a demandé pardon…

C’est juste un petit rappel à tous ceux qui travaillent dur dans la vie. Nous ne devons pas la laisser filer entre les doigts sans avoir passé un temps, ou une partie de ce temps avec ceux qui en ont vraiment le besoin, ceux qui sont proches de notre cœur. N’oubliez pas de partager ces 12 Euros (la valeur de votre temps) avec quelqu’un que vous aimez.

Si on meurt demain, la société pour laquelle nous travaillons, pourrait facilement nous remplacer dans les prochaines heures. Mais la famille et les amis que nous avons laissés derrière sentiront la perte pour le reste de leur vie …


Réflexion

Ne pas se déprécier…

Qui de nous peut affirmer ne s’être jamais senti(e) déprécier ? Nous sommes comme conditionné(e)s pour, un jour ou l’autre, connaître cette sensation. Pierre Pradervand, sociologue, affirme que c’est en partie faute à notre éducation. « Même lorsque nous n’avons pas reçu d’éducation religieuse, il y a tout de même dans notre modèle de société une dominante judéo-chrétienne très marquée, explique-t-il. Une de ses caractéristiques, c’est la tendance à l’auto-condamnation. » Le fameux « C’est ma faute, c’est ma très grande faute » que l’on retrouve dans la religion chrétienne.

Je me remets en cause dès que quelque chose échoue ou me pose un problème, je n’arrive pas à trouver une solution d’instinct. Je culpabilise et ramène tout à moi. Je suis incapable de prendre une décision sans demander un avis. J’ai été élevée de cette manière, mes parents m’ont toujours appris à être parfaite, qu’il faut rester en retrait, ne pas « se la jouer », faire preuve de modestie en tout milieu, dans n’importe quelle circonstance. Je sais faire ! Trop même, au point d’en souffrir : crises d’angoisses répétées, anorexie, déprime. La confiance en moi, je ne l’ai pas ou alors elle est bien cachée et je n’ai pas encore trouvé son repaire. J’agis dans la société mais pourvu qu’un grain de sable ne vienne pas enrayer le système.

Je suis handicapée par cette façon de vivre, de cette image négative de moi. Ce corps qui ne me convient pas, ces kilos perdus en deux ans, cette crainte de la société ne m’aident évidemment pas à prendre confiance en moi. Je véhicule depuis des années cette image négative et je la dépose auprès des autres au gré de mes conversations.

Je comprends qu’il faut faire la distinction entre reconnaître ses qualités propres et se vanter, l’une et l’autre n’ont rien en commun. L’une est dans l’objectivité : reconnaître ses atouts, ses points faibles tandis que l’autre, la vantardise, met en avant des atouts que l’on ne possède pas forcément. Je ne sais pas me mettre en avant, je ne sais pas reconnaître justement mes atouts. J’ai toujours entendu ma mère mettre en avant les points que je devais améliorer. C’était sa façon de m’éduquer, certainement la même qu’elle a reçue, elle remettait en pratique ce qu’elle avait vécu. Je n’ai manqué de rien, ni d’amour ni de choses matérielles. Je dirais juste qu’il m’a manqué les bases pour me construire, en mettant en avant mes qualités qui m’auraient permises de moins me déprécier.

Est-ce encore possible, à l’âge adulte, de vivre différemment de jusqu’alors et avoir une perception moins négative de soi-même ?


L’âne du fermier

Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits.

L’animal gémissait pitoyablement depuis des heures et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l’animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon.
Ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.


Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider.

Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.

Et, à la stupéfaction de chacun, l’âne s’est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu’il a vu.

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant.

Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins continuaient à pelleter sur l’animal,
il se secouait et montait de plus en plus haut.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter !

Morale :

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d’ordures.
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais…

Il ne faut jamais abandonner !

Rappelez-vous de ces 5 règles :

1. Libérez votre coeur de la haine.
2. Libérez votre esprit des inquiétudes.
3. Vivez simplement.
4. Donnez plus.
5. Attendez moins.

(reçu par mail, auteur inconnu)